La Ligue Auvergnate et le sourire de Léa MALIGE soutiennent Les Ailes de l'Aubrac.
Léa MALIGE, pastourelle de la Ligue Auvergnate et du Massif Central 2020, originaire de Recoules d’Aubrac en Lozère a réuni la majorité de votes d’un public venu très nombreux lors de la soirée "L’Auvergne volcanique sous les étoiles de Baltard" le 14 décembre dernier.
Depuis deux ans maintenant, nos pastourelles en plus de porter les valeurs de rassemblement, de traditions et de culture de nos régions s’engagent par leur candidature, aux côtés d’associations caritatives qui leur tiennent à cœur.
Notre souriante pastourelle lozérienne avait, pour sa part, souhaité mettre en avant l’association les AILES DE l’AUBRAC, jeune association créé en 2019, sous l’impulsion de son dynamique président Renaud CHANTEGRELET dont la mission est de réaliser le rêve d’enfants lors de vols en avions privés extraordinaires.
Dé-confinement... Nous voilà !
En souvenir de cet épisode inédit, merci aux musiciens de notre confédération partout en France (et au delà) de jouer pour nous. A la manière du lien qui nous unit malgré la distance, ils jouent chacun une mesure d'un même rythme de cette valse.
L'hommage aux personnels soignants se poursuit, entre applaudissements et cloches des églises qui sonnent chaque soir. La Ligue Auvergnate et du Massif Central apporte aussi un peu de réconfort...
Dans un élan de solidarité et de générosité pour remercier, à sa façon et à son niveau, les personnels soignants, la Ligue Auvergnate et du Massif Central s'est mobilisée pour leur offrir la spécialité culinaire traditionnelle de l'Aubrac : l'Aligot.
Lire la suite : De l’aligot pour les personnels soignants de l’hôpital Georges Pompidou...
Un sonnet...
Je regarde le ciel qui jette à ma fenêtre
Un rayon familier du tout nouveau soleil ;
Je vois au loin, là bas où les moutons vont paître,
Comme un parfum monter de l’horizon lointain.
Lire la suite : Confinés des villes, confinés des champs… (10)
Le temps est ce qui passe. Le temps est ce qui passe quand rien ne se passe. Jean Giono
C’était le premier samedi d’avril après le virus. Un de ces matins à l’entrée du printemps, où le soleil émergeait dans une aube limpide et donnait à entrevoir les longues journées estivales àparesser sur le balcon.
Nous traversions le fameux confinement qui pétrifiait chacun face à soi-même. Troisième semaine sans sortir. Certains n’y tenaient plus. Pour moi, ce n’était que train-train habituel.
Ce samedi-là donc, j’étais prêt à me couler dans ma petite place douillette près des bambous, avec l’espoir de chauffer ma vieille couenne sous des rayons que j’espérais ardents.
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